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 Mirianne Labonté, Directrice et enseignante!

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Mirianne Labonté
- Banales -



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Date d'inscription : 16/10/2007

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MessageSujet: Mirianne Labonté, Directrice et enseignante!   Mirianne Labonté, Directrice et enseignante! EmptyMar 16 Oct - 19:05

I) Identité
Nom:Ma mère biologique était une Labonté. Mon père biologique et adoptif était un Lavigueur. Ma mère adoptive était une Tremblay. À l’orphelinat, j’étais une Rose. Il est donc impossible de savoir avec certitude mon véritable nom de famille. Je me considère comme une Labonté.

Prenom:Ignorant le nom que m’avait donnée à l’origine mes parents adoptif, ma vraie mère m’a trouver un nouveau nom. Sur mon certificat de baptême, il apparaît le nom Marie-Ange. Mais sur la pierre tombale de ma mère, on voit le nom Mirianne.

Surnom:Depuis qu'elle est toute petite, on l'appelle Mirianne.

Nationalité: Je suis née dans les Laurentides au Québec. J’y ai vécu jusqu’à mes trois ans. Mais le cours des choses est si fragile et bascule si facilement. À trois ans, je me suis retrouvé dans un orphelinat à Lyon. Je suis donc Québécoise de corps, Française de coeur et Japonaise d'adoption.

Age: J’ai vingt-six ans. J'ai une maîtrise en Enseignement spécialisée, un baccalauréat en théologie et un baccalauréat en Philosophie.Je suis née en mi-décembre. La neige tombait en immense tourbillon blanc. C'était bien avant le réchauffement plantaire. Nous étions à la fin de 1980.

Lieu de naissance: Je vis le jour dans une immense villa sur le domaines des Lavigeurs dans les Laurentides.

Petit copain: Célibataire.

Groupe Sanguin:Donneur Universel O-. Je donne tout ce que je peux dès que j’en ai la chance.

Orientation sexuelle: Bien que bien des gens croient que je sois hétéro, la vérité est bien différente. Je suis Bisexuelle avouée depuis que j’ai fait mon entrée à l’université après la sortie de mon livre. Je sais que des gens me collent des étiquettes, mais j’ai bien intention de me battre contre ses gens et que l’on m’accepte comme je suis.

II) Le personnage
Famille: Mère Biologique: Son épitaphe est : « Repose Ici en Paix, Ariane Labonté, 1964-1983. Elle laisse dans le deuil sa fille Mirianne. »

Père Adoptif et Biologique: Son épitaphe est : « Repose Ici en Paix, Docteur Alain Lavigeur, 1934-1982. Il laisse dans le deuil sa femme, Isabelle Tremblay, sa fille adoptive, Ariane Labonté et sa fille biologique, Marie-Ange Lavigeur Tremblay. »

Mère Adoptive: Selon son dossier criminel, il est écrit : « Isabelle Tremblay, 1934, détenue pour enlèvement, séquestration et menace sur Mirianne. »

Caractère:Depuis toute petite, Mirianne n’est pas très bavarde. On pense souvent qu’elle fuit une partie de la vie qu’elle n’aime pas pour aller se réfugier dans un monde ou elle est à l’abri du regard des autres. C’est en quelque sorte une femme évasive. Elle a du apprendre très jeune à se défendre des autres. Elle sait ce que c’est que de vivre appuyer les un sur les autres. Elle n’a aucune difficulté à se faire respecter par les autres. Très gentille et très sympathique, elle est avant tout une femme qui sait ce qu’elle veut. C’est peut-être à cause de sa vie en orphelinat que la femme sait quand elle doit intervenir et quand elle est mieux de laisser les choses aller sans intervenir. Une chose est sure, la jeune dame est très déterminée. Elle n’est pas du tout agressive et voit la vie d’une manière positive et sans phare. Elle déteste voir les autres juger une autre personne sans raisons. Elle est une femme qui favorise le dialogue entre les élèves qui ont des problèmes entre eux plus tôt que les sanctions. Elle est aussi très calme et ce peut n’importe la situation et son niveau de difficulté au quel elle est confrontée. Elle est le genre de femme qui est très romantique et qui cherche l’âme sœur. Elle croit fermement en dieu. D’ailleurs, elle est encore vierge. Elle attend le bon moment pour se sentir prête à perdre cette partie d’elle.. Elle a besoin d’être mise en confiance par un homme. Mais une partie d’elle se réveille lentement. Son horloge biologique lui dit que le temps est venu. Elle sera prête à tout pour obtenir ce qu’elle désire. Elle veut avoir le rêve américain. Elle rêve de la vie parfaite. Elle veux trouver sa voie et se faire une famille. Au pire, ses enfants seront les étudiants qu’elle mettra en aide sous sa supervision. Imposante par sa taille on s’attend souvent à trouver une femme très forte qui se tient droite mais le fait est qu’elle est d’un style plus tôt décontracte. Elle aime prendre la vie à la légère. Elle aime vivre et elle a intention de vivre longtemps. Mais dans son attitude ce qui se voit le plus c’est ce calme maladif qui émane de cette femme.

Histoire:
Le destin de Solange
Solange était ma grand-mère du coté maternelle. Mon grand-père l’avait quitté quand elle était tombée enceinte d’Ariane. Jamais il n’avait tenté de reprendre contact avec sa fille. Il ne voulait pas avoir de responsabilité face à cette grossesse surprise de son amie de cœur. Il avait donc choisit de fuir la jeune femme. Ma mère n’ayant que Solange s’est vite attacher à cette femme qu’elle aimait et qui l’inspirait énormément. Elle lui avait toujours tout confier. De ses craintes d’enfant à ses amours d’adolescente. Le temps fit en sorte que la santé de Solange se dégrada rapidement quand Ariane atteint ses seize ans. Un cancer est une chose terrible qui ravage l’être entier. De la mort, Woody Allan a dit : « Je ne sais pas ce qui me dérange dans la mort : Possiblement les horaires. ». Cet été la, Solange mourut. Sa tumeur était au cerveau et elle était trop développer pour être enlever. Solange avait perdu toute autonomie. Ma mère se retrouva mère de sa propre mère. Deux mois plus tard, elle était morte. Ma mère se retrouvait seule au monde et soulagée malgré tout.

Un dossier parmis tant d’autre
De l’adversité, un grand arabe a dit : « Trois choses donnent la mesure de l'homme : la richesse, le pouvoir, l'adversité. » Du jour au lendemain, ma mère se retrouvait seule au monde. Son nom devient un numéro. Un numéro de dossier des services sociaux qui devait être classer au plus vite. Elle n’avait pas l’age qu’il fallait pour être considérée comme assez grande pour s’occuper de son corps. Une chance pour elle, rapidement une travailleuse sociale s’occupa rapidement de son dossier. Mais pendant les quelques semaines qui séparèrent la mort de sa mère et son adoption, elle dû s’occuper seule de l’immense appartement qu’elle partageait avec sa mère. Mais rapidement, elle fut conduite à la demeure des Lavigeurs. Elle se fit adopter légalement quelques semaines plus tard.

Un plan de fou pour des fous
Le couple des Lavigeur était constitué d’un médecin de famille. Spécialiste en hypnose et en pédiatrie, le docteur Alain Lavigeur était un médecin de références pour le milieu de la santé au Québec. Plusieurs fois nominé pour les prix Nobel, il était extrêmement riche. Avec ses cheveux noirs et ses yeux foncés, il ressemblait à une vedette de cinéma américaine. Sa femme quant à elle était un grand peintre. Reconnue pour son œuvre ultra réaliste, Isabelle Tremblay peignait dans le confort de leur domaine. Blonde avec des yeux bleus, elle avait d’avantage l’air à un mannequin qu’à une artiste. Enfant, elle croyait beaucoup aux fins heureuses. Du désir, Aristote, un philosophe grec, a dit : « Le désir est l'appétit de l'agréable. ». Autant que pouvait paraître parfait, ce couple qui réalisait le parfait rêve américain avait un gros problème. Isabelle était infertile. Peut-être par folie ou par désir, ensemble les Lavigeurs décidèrent de convaincre Ariane d’être la mère porteuse.

Ariane : Mère porteuse.
L’horloge biologique du corps est différente sur chaque femme. Certaines ne ressentent jamais le besoin d’enfanter, d’autres le ressentent très jeune. À 16 ans, Ariane rêvait déjà de pouvoir serrer un enfant contre son sein. Elle se soumit donc à tout les test qu’imposa le docteur Lavigeur. Ils conclurent donc un marché. Il procéderait à la fécondation in-vitro. Je serait parmis les premiers bébés-éprouvette à naître. Dans le bourgeois gentilhomme, Molière dit : « J’espère ne pas avoir pêcher par audace. ». C’était tabou de parler de cette grossesse peut commune à cette époque. Selon les dires, tout le monde devrait penser que c’était Isabelle qui avait porté l’enfant. Ma mère vécu sa grossesse sur l’immense domaine des Lavigeurs. Elle se cachait de regard des autres.

Accouchement et départ
Selon le journal de grossesse que ma mère a tenue et qui reste l’une des seules choses que j’ai, elle marque qu’elle était assise sur un gros rocher, les deux pied dans des grosses bottes de poils. Elle n’arrivait même plus à fermer son grand manteau, tant son ventre de femme enceinte était énorme et monstrueusement gros. Solène, la vieille dame qui servait de domestique à ma mère lui conseilla de rentrer dans la maison. Elle se leva avec un grand soupire et observa pendant un instant la buée qui s’extirpa de sa respiration. Elle ressenti alors une douleur. Elle ne voulut pas effrayer Solène. Mais elle marcha lentement vers la propriété en s’accotant sur Solène. Arrivée aux pas de la maison, elle dit : « Appelle papa, je vais accouchée. ». De la peur, Roseline Cardinal a dit : « La peur est la sœur de l’imagination. ». Elle eut peur des douleurs jusqu’à ce que le docteur Lavigeur arrive. Il l’hypnotisa et elle accoucha sous hypnose sans être entièrement consciente de ce qui se passait au tour d’elle. Tout ce qu’elle fut sur, C’est qu’à la fin, elle entendit la porte claquée et que le docteur lui dit que s’était sa femme qui venait de partir en proie à la douleur… L’enfant, une fille, était morte née. Cet enfant, c’est moi.

Le destin du Docteur Lavigeur
Le destin a voulu que la femme du docteur Lavigeur convainque son mari de garder l’enfant pour eux seuls. Des secrets, Joseph Autran a dit : « Laissons les secrets à l’amour et les mystère à la femme. » Une seule chose est sure sur ce qui se passait dans la tête d’Isabelle Tremblay, elle désirait cet enfant et pour elle seule. On fit ma mère dans un appartement payée à montréal. Pendant deux ans, elle y vécu seule et sans anicroche. La veille de noël 1982, sur la route, un véhicule fit un tonneau. Les deux occupants furent tués sur le coup. On vient apprendre la nouvelle terrifiante à Ariane. C’était son père et une femme qui avait périt. Elle était devenue majeurs et ne dépendait plus que d’elle-même pour choisir ce qu’elle faisait. Quand elle appris la nouvelle, elle fonça vers son passé.

Retrouvailles
Elle entra dans la demeure des Lavigeurs. Ce fut Solène qui lui ouvrit. Sans un mot, elle marcha dans le vaste hall blanc. Ses pas la menèrent vers cette femme qui venait de perdre ses gens qu’elle aimait si fort. Elle la laissa se promener dans la villa sans question. Elle entendit au loin des pleurs d’un enfant. C’était un bébé. Elle marcha son cœur verrouiller sur le cri du cœur que lançait cet enfant. Ses pas la menèrent à l’ancien atelier d’Isabelle. Elle y découvrit une chambre avec un landau et une petite fille dans le landau. Elle regarda cette fillette et la serra contre son sein en lui jurant fidélité. Solène lui expliqua tout. Du désir d’Isabelle d’élever cet enfant seul à l’enfance de sa fille. Ensemble, ils gardèrent cette fillette. Solène confia tout à Ariane. Elle lui confia tout même ses rêves. Erma Bombeck disait : « Il faut beaucoup de courage pour montrer nos rêves à quelqu’un. ». Ce jour-la, Solène a montrer tout son courage comme elle a toujours fait jusqu’à ce que Isabelle vienne voler ce qui restait d’espoir à ma mère de ne plus avoir à se battre. Elle vient m’enlever.

Le destin d’Ariane
Ma mère était prête à virer ciel et terre à l’envers pour obtenir ce qu’elle voulait. Elle voulait que je sois sa fille. Elle voulait m’élever. Elle mit la police à mes trousses et celle de cette femme qui voulait être ma mère. C’était une chasse à l’homme. C’était une partie d’échec ou chaque geste à poser était important. On retraça la dame qui avait réservé des billets d’avion pour Lyon. On m’a expliqué qu’Ariane a pris un avion spécial. Une chose que je sais c’est qu’Isabelle avait un complice. À l’aéroport, ma mère était la. Elle a pointé la femme qui a donné l’enfant que j’étais à son complice. On a arrêté Isabelle. Ma mère est partie à courir derrière l’homme qui me tenait fermement dans ses bras. Voyant que ma mère ne me rattraperait pas un policier hurla à ma mère de se tasser. Il dégaina son arme. Deux coups partirent. Le complice de ma mère fut abattu le premier. Il s’écroula. Je vécu le restant de la scène au ralenti. Ma mère courut encore un peu. La balle la frappa. J’ai eut l’impression que le temps s’était arrêté. La figure de ma mère se tordit de douleur. Le reste se passa si vite. Elle tomba à genou. Le sang giclait lentement. Elle appuya une main contre la plaie et elle regarda l’enfant que j’étais et qui accourait vers sa mère en paniquant. Pourquoi ma mère était-elle en train de s’écrouler ? Elle s’écroula lentement. Avant de pousser son dernier soupir, ma mère me serra dans ses bras et à mon oreille, elle murmura : «Je T’aime mon ange. Mais je vais devoir te quitter. ». Elle me regarda et sur mes lèvres elle posa le plus doux baiser du monde. Si seulement elle aurait pu savoir à quel point cet instant allait tout faire basculer. Ma mère mourut en quelques minutes. Cet instant, c’est mes pires cauchemars encore aujourd’hui. Je me souviens de l’odeur de ma mère, la chaleur du sang, de la douceur des policiers, des larmes que le policier avait voulu m’empêcher de pleurer. On m’avait retiré du corps de ma mère morte en me disant que c’était fini. J’avais tellement mal. Je n’ai jamais oublié.
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Mirianne Labonté
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MessageSujet: Re: Mirianne Labonté, Directrice et enseignante!   Mirianne Labonté, Directrice et enseignante! EmptyMar 16 Oct - 19:12

L’orphelinat et Mammy Rose

L’orphelinat c’est ce qui fit que je changeai le plus. J’y fus enfermé entre mes trois et dix-huit ans. Je comparais cette grande bâtisse sombre et austère avec ses grilles aux fenêtres à un asile ou à une prison. Nous devions toutes serrées nos coudes et trouver le moyen de se montrer forte devant l’adversité que nous devions affronter à chaque jours pour se bâtir une place, si minime soit-elle. Quand j’y suis entrée, j’étais la plus jeune et la plus fragile. Dans mon petit berceau dans la chambre des plus jeune, j’étais cet enfant étrange et renfermée sur moi-même. J’étais petite et silencieuse. On me parlait, on essayait de me faire rire et de me faire répondre, mais personne n’y arrivait. J’étais condamnée et je purgeais ma peine comme je devais le faire. Il n’était pas rare, la nuit de me réveiller en pleurant comme un bébé. Je me souviens du visage de Roselyne. Roselyne, c’était la plus jeune des sœurs responsables de l’orphelinat. Elle avait vingt-six ans quand je suis arrivée. Et elle a été séduite par grands yeux verts pleins de cachette. C’était elle qui venait me consoler. Petite, je n’étais pas capable de prononcer son nom. Pour moi, C’était Mammy Rose. Roselyne était anglophone. Anti-conformiste, elle avait les cheveux roses et un style tellement différent des autres sœurs insipides. Elle fut la première et la seule qui entendit mon histoire. Je ne parlais pas aux autres. J’obéissais. La nuit, quand je n’arrivais pas à dormir et que j’avais cinq à dix-huit ans, je marchais jusqu’à la chambre de Mammy Rose. Je ne savais pas ce qu’elle avait vécu. Mais une seule chose, elle savait comment me rassurer et me calmer. Je finissais toujours par m’endormir et je me réveillais en hurlant et elle me consolait. Je me souviens de l’odeur de son parfum et des rumeurs que le fait que Mammy Rose serait homosexuelle. Ce n’était pas vrai. Elle aimait les enfants et l’école était une école pour fille. Elle m’a enseigné tout ce que je voulais. À dix-Huit ans, j’ai pris mon envol. Sans un mot, je me suis blottie dans les bras Mammy Rose. Elle, elle savait que j’étais bisexuelle. Elle savait que j’irais loin. Elle avait confiance en elle. Sans un mot, j’ai ramassé mes affaires. J’ai ramassé le peu que j’avais. Je ne me suis jamais retourner vers l’orphelinat de corps.

Libération de conscience

J’ai marché et j’ai fait du pouce. Je suis partie de Lyon. J’ai marché jusqu’à en avoir mal aux pieds. Je voulais voir du pays, faire des choses de ma vie qui révolutionnerait le monde, étudier et avoir des enfants. J’ai fait chaque hameau, chaque village et chaque ville que je croisais sur mon chemin. Je voulais un abri pour une nuit. Un gîte. Je n’avais rien. Mon périple me pris six mois. J’arrivais à destination. Paris, la cité des lumière et la ville des amoureux. Je me trouve un appart, un travail, un psy et je commence mes études. Je veux tout savoir mais mon esprit est encore torturé par Mammy Rose et l’image qu’il me reste d’Ariane. J’avais dix-neuf ans, l’age qu’elle avait à sa mort et j’étais dans la Sorbonne en enseignement. Je réalisais le rêve de ma mère. Sous ordre de mon psychologue, j’ai écris un roman. Une brique de mille deux cent page ou je parle de ma vision de la vie, de mon amour des mots, de mon enfance compliquée, de la mort de ma mère, mon enfance en orphelinat. Je parle sans tabou de mon périple. C’est un best-seller. C’était pour libéré ma conscience que je me trouvais à écrire et tout le monde a été charmé par les mots simples de mon roman qui dénonce silencieusement la douleur de vivre et de perdre tout ce qui nous raccroche à notre courage. J’avais vingt ans. J’étudiais et j’écrivais. Je deviens aussi étudiante en philosophe et je décroche tous mes diplômes. Je veux être quelqu’un et vivre des choses, mais je ne sais pas quoi. Je prends une sabbatique après l’obtention de ma maîtrise et je vais au Québec. Je découvre tout ce qui me manquait sur ma mère et j’écris l’histoire de ma mère. Je me décide à croire en dieu. Je deviens aussi théologienne. J’ai enfin ce que je désire, le droit de me sentir libre de ne plus avoir à porter la mort de ma mère. Bien que je sais qu’elle est morte pour moi.

Qui je suis

Andrée Watters a dit de la vie : « Si quelqu'un pouvait me dire; Que me réserve l'avenir; À part la pluie et le beau temps; Je veux savoir ce qui m'attend. S'il me reste un tas d'années; Et tant de choses à traverser; Je veux avoir assez de temps; Et pouvoir faire de mes rêves ma réalité. Laissez-moi aller ailleurs; Pour voir ce qu'il y a de meilleur; Laissez-moi partir d'ici; Je veux découvrir qui je suis. Si la vie est un mystère; Je veux rester dans la lumière; Pouvoir enfin éclaircir; Tout ce qu'il y a autour de moi. Si rien n'est gagné d'avance; Je veux avoir tenté ma chance; Avant que mes jours soient comptés; Je voudrais faire de mes rêves ma réalité. Laissez-moi aller ailleurs; Pour voir ce qu'il y a de meilleur; Laissez-moi partir d'ici; Je veux découvrir qui je suis. Laissez-moi aller ailleurs; Pour voir ce qu'il y a de meilleur; Laissez-moi partir d'ici; Je veux découvrir qui je suis. Même si je ne sais pas où je vais; Je veux aller où personne ne me connaît... Laissez-moi aller ailleurs; Pour voir ce qu'il y a de meilleur; Laissez-moi partir d'ici; Je veux découvrir qui je suis. Laissez-moi aller ailleurs; Pour voir ce qu'il y a de meilleur; Laissez-moi partir d'ici; Je veux découvrir qui je suis. Laissez-moi aller ailleurs; Pour voir ce qu'il y a de meilleur; Laissez-moi partir d'ici; Je veux découvrir qui je sui. ». Elle a tellement raison. Des années durant, je me suis battue à la même place pour voir la vie d'une manière différente d'une autre. Je voulais montrer ce que j'avais appris aux autres. Je n'ai la même vision du monde que la majorité des gens. Peu de gens pensent comme moi. En un an, je suis devenue orpheline. Des années plus tard, je n'ai toujours pas pardonné à Isabelle. Tout est de sa faute. Mais je sais qu'il ne faut pas juger les gens. Vous avez le choix de vos croyances, de votre philosophie, de vos amis et de votre attitude. Je veux vous montrer que peu n'importe le fait que l'on porte le voile ou que l'on manque de preuve pour croire en un dieu, on est tous semblable à la base. Je cherche encore qui je suis malgré mes vingt-six ans. Je veux vous montrer à voir la vie sous un autre angle. Parce que tout est une question de perception.

Suspendue entre Paris et Tokyo

J’ai vingt-six ans. Mais il ne faut pas se fier à l’age d’une personne pour lui coller des étiquettes. Peut n’importe notre age, notre origine, notre philosophe, notre orientation sexuelle et notre mode de vie, nous ne devons être jugé. Mille et une fois j’ai été jugée. On m’a traité d’homosexuelle, de traînée, de salope. Il faut apprendre à ignorer les gens qui nous jugent. Aujourd’hui, je suis à l’aéroport Charles-De-Gaulle. Je suis assise dans un banc en attente de mon appel d’embarquement. Je suis la seule fille qui a des traits légèrement asiatiques qui attend pour ce vol en direction de Tokyo. Je suis possiblement celle qui se fait le plus regarder justement pour cette origine minoritaire. Certaines personnes m’ont reconnue et me demande de signer de temps en temps un exemplaire de mon roman. L’avion m’appelle et mon envie de voyager ne m’a jamais quitté. J’ai choisi le Japon pour me déstabiliser. Il y a une immense marge pour moi entre le milieu ou j’ai réussit à vivre et celui dont je maîtrise à peine la langue. Je veux dire que j’ai ma religion, j’ai mes croyances, ma manière de voir la vie et un immense bagage émotionnel. Je veux vous montrer que peux n’importe les accros que la vie nous a fait nous pouvons tous trouver notre voie. Et même si celle si est suspendue entre Paris et Tokyo. Il est important pour tout être humain de faire une chose qui lui tient à cœur. Ceux qui savent chanter ou danser, profiter de vos dons. Ceux qui veulent enseigner suivez votre voie.

Aime:C’est une femme classique. Elle aime le bon vin et la bonne nourriture, elle croit par contre que l’on doit aimer ses choses la avec modération. Elle aime écouter les autres parlée d’eux. Elle aime enseigner et montrer des choses. Il est sur qu’elle aime diriger les autres pour leur montrer ce qu’il faut faire pour trouver le bon chemin. Elle adore se laisser porter par les histoires les plus farfelues. Elle adore la lecture. Petite, elle lisait avait Mammy Rose jusqu’à ce que le soleil se lève. Elle est le genre de fille qui adore le cocooning. Un bon livre, un bon bain, de bonnes huiles essentiels, une bonne pédicure, une bonne manucure et un bon massage. C’est sa vision relaxe du parfait dimanche. C’est une vieille fille endurcit qui aime sortir. Elle aime les bons restaurants italiens. Elle aime aussi séduire des hommes.

N'aime pas:Elle est extrêmement pacifique. Ne lui parler par d’arme et de fusils. Son cœur se ferme et sa tête refuse d’écouter ce que vous dites. Elle déteste parler d’elle et de son passé. Pourtant dans ses cours, elle se montre plutôt cœur ouvert. Elle déteste que l’on ne respecte pas le peu qu’elle exige. De ceux qu’elle dirige, elle exige le plus grand maintien. Elle déteste les gens qui ne respectent pas les autres. Elle déteste les gens qui pense trop à eux, puisqu’il lui a fallut des années de thérapie pour arriver à penser à ce que pensent les autres. Elle déteste les hommes qui ne parlent que de eux. Elle déteste ce qui pousse les gens à fuir. Elle hait la solitude et l’impertinence. Quand vous la fréquentez depuis longtemps vous savez qu’il ne faut jamais mettre des étiquettes aux gens à sa présence. Elle veut que vous parliez le même langage qu’elle. Faites gaffe à la mettre en colère.

Autres:
Ses rêves/ Projets pour l’avenir : De loin, cette femme semble avoir tout pour elle. Mais ce qu'elle recherche c'est une distinction. Elle cherche aussi à trouver un homme qui pourrait lui plaire assez pour lui donner le goût de perdre sa virginité. Elle veut se marier et avoir des enfants. Elle rêve d'avoir le happy-ending des romans à l'eau de rose qu'elle raffole. Elle voudrait aussi pouvoir trouver des amis qui auraient la même vision du monde qu'elle. Si c'est possible elle donnerait tout pour pouvoir fonder une seule ville qui serait diriger un peu comme Camelot sur les même principes qu'elle tente d'indiquer. Elle rêve aussi de pouvoir se trouver un coin de paradis ou vivre. Elle souhaite en plus animer une classe de débat dans le cadre d’un cours de philosophie et de morale ou nous pourrions discuter de truc intéressant comme les accommodement raisonnable, le port du voile à l’école, la guerre en Irak, etc. Elle veut aussi écrire un autre roman.

Physique: Un océan noir de cheveux bouclés qui tombent en cascade sur ses épaules frêles. Une peau fraîche et légèrement foncée dont la vie et les moments difficile ont laisser leur empreinte. Des vallons légers qui marquent ses sourires et ses moues tristes. Des rides de sagesses qui marquent ses yeux. Des yeux, verts comme la forêt qui borde les routes qui mènent à son enfance, expressif, légèrement en forme d’amande, plein de cachettes et de choses enfouies au plus profond d’elle-même. Très féminine, elle a un petit nez arlequin. Sa bouche est un écrin pour les plus belles perles du monde. Blanches et bien alignées, ses dents rendent à son visage un éclat peu commun. C’est le genre de femme qui assume son corps. Elle est grande et très mince, mais elle a des formes relativement intéressantes et elle aime mettre à l’essai des styles vestimentaire qui lui chante. Elle ne tombe par contre pas dans le sexiste. Elle aime bien un style légèrement friperie. Elle n’est pas du genre collet monté. Elle est grande.

Taille : Elle mesure six pieds soit environ 1 mètre 80. La taille d’un mannequin très grand. Elle a un poids proportionnel à sa taille. Elle pèse dans les 150 à 160 livres.

Emploi: Directrice et Prof de philosophie, Morale et Éducation au choix de carrière

III) Vous

Avatar:Kristin Kreuk
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Jordan Hinson
Junkee Jordy - ADMIN
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Jordan Hinson


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Date d'inscription : 26/05/2006

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MessageSujet: Re: Mirianne Labonté, Directrice et enseignante!   Mirianne Labonté, Directrice et enseignante! EmptyMar 16 Oct - 20:52

J'ai pris le temps de tout lire car la naissance de ma directric epersonnellement ne m'interesserait pas! En revanche tu as un bon style d'écriture mais j'aimerais savoir quel est ton but dans le forum? Tu voudrais jouer une adulte au milieu de jeunes universitaires ou lycéen?
Tu risquerais de très vite t'ennuyer!
J'aimerais savoir ce que tu comptes faire avec ton personnage qui est directrice de je ne sais pas quoi et prof je ne sais pas ou!
Avant de prendre la décision de jouer un personnage important la moindre des choses est d'en parler aux admins!
L'avatar de Kristin Kreuk est déja occupé par Allie!
Maintenant j'attends les réponses a ses questions et nous pourront peut-être parler de quel role tu pourrais avoir dans le forum!
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